LES TRENTE PROJETS DE
HOLOS GLOBAL SYSTEM PROGRAM



(Énergie)

Le niveau de bien-être est directement proportionnel à la quantité d’énergie employée. La croissance annuelle mondiale de la production d’énergie est inférieure à l’un pour cent. Dans les dernières années elle a été du deux pour mille. Tejas est un programme de développement mondial de l’exploitation de l’énergie. Le programme se propose l’utilisation de toutes les formes d’énergie (méthane, biomasses, fleuves, cascades, déserts, forets, marées, courants marines, vent, soleil, espace, bactéries, nucléaire) et de rechercher des nouvelles solutions (moteurs, installations, apparats) pour accélérer l’incrémentation de l’exploitation des ressources énergétiques.

L’augmentation de la production d’énergie s’obtient à travers une plus grande exploitation des ressources naturelles.

Les systèmes d’exploitation demandent des installations de méthanisation, apparats pour la production d’énergie par les biomasses, digues, centrales hydroélectriques, convertisseurs de chaleur en énergie électrique, systèmes de transformation de l’oxyde de carbone en oxygène, installations pour l’exploitation des marées et des courants marines, centrales éoliques, panneaux solaires, transformations des rayons gamma en énergie électrique, centrales nucléaire à fusion froide.

On peut estimer les ressources nécessaires pour accélérer la production d’énergie nette autour de 85/100 milliards d’Euro/USD, égal à 3,4/4 milliards de Dhana, moins du 1% du total de Dhana qui on prévoit d’émettre (490 milliards).

Pour promouvoir le projet sert une structure organisatrice constituée d’un group centrale de 81 employés et 233 groups nationaux de 36 employés, pour un total de 8.469 employés au projet.

Par cette structure on peut faire de l’expérimentation, trouver les formes d’application, promouvoir la participation des entreprises, des États et des privés.

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(Eau)

Dans les cinquante derniers ans la quantité d’eau douce disponible pour chaque habitant de la Terre s’est réduite au moins de la moitié. Les causes principales sont l’augmentation de la population, la pollution et les changements climatiques globaux. La pénurie d’eau globalement disponible et son irrégulière diffusion sur la planète risquent de provoquer des conflits et des guerres en plusieurs régions. L’eau utilisable des fleuves et des lacs est seulement le trois pour mille de l’eau douce présente sur la planète, pour le soixante-dix pour cent emprisonné dans les glaciers et les neiges permanentes et pour le trente pour cent confiné dans le sous-sol. Le programme Udaka se propose d’augmenter la quantité d’eau disponible et d’améliorer sa distribution.

L’augmentation de la disponibilité d’eau douce sur la planète s’obtient à travers la dépollution des ressources existantes et la réalisation des structures aptes à éviter les pertes et les gaspillages.

Pour donner l’eau à celui qui n’en a pas, il est nécessaire transférer l’eau des bassins où elle se trouve et trouver nouvelles formes pour utiliser celle présente dans les zones actuellement dépourvues.

Les ressources nécessaires pour réaliser cette double solution est d’environ 340 milliards d’Euro/USD, égal à 13,6 milliards de Dhana, le 2,8% du total de Dhana qui seront émises.

Pour promouvoir et réaliser le projet sert un group de coordination de 144 employés et 233 groups nationaux de 108 employés, pour un total de 25.308 employés.

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(Nourriture)

Le programme Asana prévoit l’envoi gratuit et la distribution de nourriture à celui qui risque de mourir de faim. Dans les dix derniers ans le nombre de personnes qui souffrent la faim s’est réduite de moins du 5% et dans les prochains trente ans on prévoit une ultérieure réduction de peu plus que le 40%. Aujourd’hui 777 millions de personnes souffrent la faim. C’est fou penser que pour résoudre le problème il faudrait un dollar par jour pour chaque affamé, 284 milliards de dollars par année, le 6,5 pour mille de la richesse mondiale produite chaque année.

Pour résoudre le problème de la nourriture il faut donner à manger pour trois ans à celui qui souffre la faim.

En trois ans on doit créer les conditions afin que chacun soit en mesure de produire assez pour sa survivance et son développement.

Pour donner de la nourriture à 777 millions environ de personnes qui souffrent la faim il faut donner pour trois ans un repas journalier complète au coût d’un EUR/USD chacun pour chaque affamé, égal à environ 285 milliards d’EUR/USD par année pour trois ans, pour un total de 855 milliards d’EUR/USD, égal à 34,2 milliards de Dhana, le 7% des Dhana qui seront émises au total.

La structure nécessaire pour réaliser le programme prévoit 25.900 centres de productions de repas avec 6 employés (155.400), 77.700 groups de distribution de 6 personnes (466.200) et une structure centrale de coordination de 288 employés, pour un total de 621.888 employés.

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(Santé)

La santé est une des conditions essentielles pour vivre bien. Au-delà de la moitié de la population mondiale ne jouit pas d’une suffisante assistance sanitaire. Le programme Ayus prévoit des interventions en ce qui concerne la recherche, de la thérapie et de la prévention.

La santé physique demande de la recherche, prévention et traitement des maladies.

Il faudra utiliser les modernes instruments de diagnostic rapide et adopter les retrouvés que la science nous offre.

Ce programme peut être réalisé à travers la participation des organisations existantes, auxquelles assurer les ressources pour renforcer leurs structures et affronter le problème dans son ensemble.

Pour assurer des interventions globales, rapides et programmées, ils sont nécessaires environ 450 milliards de EUR/USD, égal à 18 milliards de Dhana, le 3,7% du total des Dhana qui seront émises.

Il faut une structure organisatrice centrale avec 72 responsables et 28 groups régionaux avec 144 employés, pour un total de 4.104 employés.

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(Connaissance)

Analphabétisme et information insuffisant sont entre les causes principaux de pauvreté et malaise. Centaines de millions d’êtres humains ne sont pas lire et écrire et milliards de personnes ne sont pas rejointes d’une adéquate information. Le programme Jnana se propose d’augmenter l’information globale et de la rendre accessible pour chacun être humain.

Selon les donnés les plus récents, 1,4 milliards de personnes âgées de plus de six ans sont analphabètes. Pour leur alphabétisation servent au moins 7,7 millions de structures scolastiques (30 élèves pour 3 heures pour 6 tours au jour), avec au moins 20 millions d’instituteurs (70 élèves pour instituteur). Cette est la dimension du problème.

En considérant un coût de 10.000 EUR/USD pour structures et de 150 milliards de EUR/USD par an pour trois ans pour instituteurs, pour un total de 527 milliards de EUR/USD, égal à 21 milliards de Dhana, le 4,25% des Dhana émises.

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(Centres de Communication)

Pour avoir du succès, il sert des idées, ressources, organisation et, surtout instruments de communication. La technologie de communication de masse actuelle –journaux, radio, télévision – induisent les destinataires à un procès d’agrégation, c’est-à-dire à une sorte d’imitation et pas, au contraire, à la participation par émulation.

La différence entre l’imitation et l’émulation est énorme. On imite pour « se sentir » comme un autre, pour en assumer les mêmes attitudes, en faisant semblant d’être comme en réalité on n’est pas. On « émule » pour comprendre comme penser et comme agir pour réaliser soi-mêmes, pour être réellement comment on veut être. L’imitateur n’a pas le but d’être, il n’a pas la volonté d’être, mais, plutôt, d’apparaître. L’émulateur « veut » être et pour devenir ce qu’il veut être, il cherche de comprendre le procès logique que des autres ont adopté pour être et il l’adapte à ses qualités, à ses attributs. Il pourra avoir ou ne pas avoir reconnu son être, mais s’il avait voulu être et émulé assez pour être, il sentira d’être comme il est réellement.

L’être reconnu est le pouvoir d’être par rapport aux autres, l’être pas reconnu est l’être sans pouvoir par rapport aux autres, mais il n’est pas sûrement ne pas être. Les parties prédominantes –qui sont et qui ont le pouvoir d’être – de la structure de notre système exercent leur pouvoir afin que nous pensions de pouvoir sans être. De cette façon, ces parties continueront à être et à avoir le pouvoir d’être et nous continueront à penser de pouvoir sans être, en étant peu et en pouvant presque rien. Pour être, donc, il faut vouloir et il faut émuler. Pour pouvoir, il faut être et il faut se faire émuler, à travers un procès dialectique, de type socratique, par lequel on confronte les exigences et les idées pour les satisfaire, on reçoit, on produit et on manifeste les informations sur la façon meilleure – ou pire – de faire. Pour réaliser ce procès dialectique servent des espaces où plus personnes puissent librement se rencontrer et se confronter. Ces-ci sont les buts d’un réseau de centres de communication en liaison constante entre eux.

Le programme Vadana-Karna prévoit des établissements interactifs sur toute la planète, institués sur la base des paramètres démographiques équivalents sur le territoire. Chaque établissement pourra accueillir environ 250 personnes qui pourront communiquer et se confronter avec les hôtes de tous les autres établissements. Une telle structure peut être autogérée des participants-mêmes, à travers le modeste apport d’environ 500 Euro par année, suffisants pour accueillir même les personnes –environ un troisième – qui ne peuvent pas soutenir aucun coût, mais qui sont disponibles et intéressés à participer, éventuellement en prêtant leur travail au lieu de la contribution.

Les centres de communication sociaux sont des instruments dialectiques interactifs qui permettent à des groups de personnes, en tout le monde, de prendre contact, parler et discuter entre eux.

On a prévu 252.000 centres, avec un investissement d’environ 50.000 EUR/USD chacun, pour un total d’environ 12,6 milliards de EUR/USD, égal à 504 millions de Dhana, l’un pour mille du total des Dhana qui seront émises.

Chaque centre aura un responsable, pour un coût de 15.000 EUR/USD par an, pour un total de 3,8 milliards de EUR/USD, 152 millions de Dhana par an.

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(Plans de production)

Il y a dix mille ans que l’être humain produit pour vivre. D’abord nourriture, depuis moyens de production, donc produits finis. La production est le moyen pour satisfaire les besoins et les désirs matériaux, souvent vitaux. Le programme Karoti prévoit de cartographier les exigences et les possibilités productive des différentes régions de la planète et un plan global d’investissement pour proportionner leur capacité productive, en tenant compte des caractéristiques historiques et sociales des populations.

Les plans de production régionaux et sectoriels servent à cerner les projets de développement qu’on doit réaliser par groups de Pays et par secteurs.

Les régions sont: 1) Amérique du Nord, 2) Amérique du Centre Nord, 3) Amérique Centrale, 4) Amérique du Centre Sud, 5) Amérique du Sud, 6) Europe du Nord, 7) Europe du Centre, 8) Europe du Sud, 9) Moyen-Orient, 10) Asie Nord-Occidentale, 11) Asie Nord-Orientale, 12) Asie Centrale, 13) Asie Sud-Occidentale, 14) Asie Sud-Orientale, 15) Asie du Sud, 16) Australie, 17) Afrique Nord-Occidentale, 18) Afrique Nord-Orientale, 19) Afrique Centrale, 20) Afrique Sud-Occidentale, 21) Afrique Sud-Orientale, 22) Afrique du Sud.

Pour chaque région sert un group de 36 employés, coordonnés d’un centre avec 144 employés, pour un total de 936 personnes.

Le coût moyen pour chaque plan régional pourra être d’environ 25 millions d’EUR/USD, auquel on adjoint le coût du centre de coordination d’environ 200 millions d’EUR/USD, pour un total de 750 millions d’EUR/USD, 30 millions de Dhana.

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(Projets économiques nationaux)

Chaque Pays a ses caractéristiques et chaque peuple a ses exigences. Le programme Tetrakos se propose de promouvoir des projets économiques nationaux en chaque Pays. Les projets économiques nationaux sont des plans de développement de la production et des services. Ils prévoient l’institution de nouvelles entreprises pour augmenter la production et créer du travail.

Les projets économiques nationaux servent à réaliser des projets de développement en tenant compte de la région où chaque Pays se trouve et des programmes déjà tracés de ses institutions nationales.

Il sert une structure constituée de 48 employés pour chacun de 233 Pays, coordonnés par un group central de 700 employés, pour un total de 11.884 employés.

On peut prévoir un coût d’environ 2,5 millions de EUR/USD pour Pays et environ 35 millions de EUR/USD pour le centre de coordination, pour un total de 617,5 millions de EURO/USD, 24,7 millions de Dhana.

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(Promotion des nouvelles entreprises)

L’économie est fondée sur l’entreprise. Aucun projet ne pourra jamais être réalisé sans la base sur laquelle on fonde les activités à dérouler. Le programme Nava se propose de promouvoir et réaliser des nouvelles entreprises en chaque Pays, avec la participation des travailleurs à leur gestion. Une partie du capital de chaque entreprise sera détenue par un organisme les associés duquel seront les travailleurs de l’entreprise même pour tout le temps où ils prêteront leur œuvre pour elle.

Pour développer la production et l’économie, donc, ils servent les entreprises.

On a prévu 342.000 nouvelles entreprises pour 83 millions d’employés en trois ans, plus d’autres 64 millions d’employés dans les suivantes trois années.

Pour construire 342.000 nouvelles entreprises, ils servent 342 millions de EUR/USD, 13,7 millions de Dhana.

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(Entreprise universelle)

Développement, récession et reprise sont les cycles économiques fondamentaux de l’économie. Les cycles sont dus à plusieurs facteurs, entre lesquels il y a le rapport entre l’offert de biens et la demande solvable de marché. Le programme Varga prévoit pour chaque Pays un group d’entreprises qui opèrent en plusieurs secteurs coordonnés d’un centre seul.

Le projet de l’entreprise universelle est une solution pour éviter et éventuellement dépasser les crises cycliques des systèmes économiques.

On prévoit la constitution d’un million de nouvelles entreprises sur toute la planète, avec un coût global d’environ 5.000 milliards d’Euro, 200 milliards de Dhana, le 40,8% de l’entière émission.

Dans l’entreprise universelle sont initialement et globalement employés environ 50 millions de travailleurs, avec un induit d’au moins 100 millions d’employés dans les entreprises rapportées. Dans les trois ans suivants du début des activités, après le renforcement de l’initiative, on prévoit le doublement du nombre d’employés et de la valeur de la production.

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(Moyens de production)

Plus de quatre milliards d’êtres humains, environ trois quatrièmes de la population de la planète, n’ont pas une suffisante capacité de transformer les ressources en produits. Il faut des machineries, installations et équipements pour l’agriculture et pour l’industrie. Karana est un programme de développement mondial des moyens de production. Le programme prévoit des synergies avec les programmes Karoti (plans de production), Tetrakos (projets économiques nationaux) et Nava (promotion de nouvelles entreprises).

Chacune de 342.000 nouvelles entreprises du projet Nava aura-t-elle besoin de moyens de production du coût moyen d’environ 11,3 millions de EUR/USD, pour un total de 3.885 milliards de EUR/USD, 155,4 milliards de Dhana, il 31,7% du total qui sera émis.

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(Produits durables)

Les produits durables sont des biens pas productifs à utilisation continuée. Le programme Bhaks a cerné quelques centaines de produits d’utilisation commune qui rendent plus agréable la vie sociale et civile. Une partie des machineries, installations et équipements prévues du programme Karana seront destinées à la production des produits durables.

Pour le développement de la production de biens durables de consommation à utilisation continuée, on a prévu un coût d’environ 115 milliards de EUR/USD, égal à 4,6 milliards de Dhana, le 0,9% des Dhana émises

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(Services)

Les services sont aujourd’hui un component essentiel de la production et du marché et, en générale, des rapports sociaux et économiques. Le programme Seva se propose d’augmenter la diffusion des services sur la planète et de réduire sensiblement leur coût à travers un système accessible à tous.

Pour le développement des services pour les entreprises et pour les privés, on a prévu un coût d’environ 195 milliards d’EUR/USD, 7, 8 milliards de Dhana, le 1,6% du total d’émission.

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(Environnement)

La pollution de l’air, de l’eau et du sol ont déjà provoqué des consistantes modifications dans le climat et dans l’environnement naturel de la planète. Le programme Ecology se propose de produire sans polluer, de solliciter les consommations sans détruire l’environnement et d’accélérer, par la technologie nécessaire, le procès de rétablissement des conditions qui existaient il y a cinquante ans.

On a prévu un coût de 45 milliards d’EUR/USD, égal à 1,8 milliards de Dhana, le 0,36% du total d’émission.

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(Financement de l’économie réelle)

Plus de 90% des actuelles transactions financières passent à l’extérieur de l’économie réelle en ne regardant pas la marchandise. Le programme Kosa se propose de transférer une partie de la masse monétaire actuellement employée pour des autres buts dans l’économie réelle, aux entreprises qui produisent des biens et des services.

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(Recueil de l’épargne)

Le projet Cinoti a le but de solliciter l’épargne d’un but productif, en faisant participer les épargnants au système des entreprises qui produisent et distribuent des biens et services par la garantie totale du remboursement du capital employé.

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(Réinvestissement de la richesse)

Le programme Parasparam (en sanscrite, Parasparam signifie réciprocité) se propose de solliciter la destination de la plus grande richesse possible produite des entreprises pour des buts productifs, à travers un système qui permit des grands avantages à celui qui investit et en limitant le risque d’entreprise qui dérive des nouveaux investissements.

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(Rapports sociétaires et commerciaux)

Synergy est un système de rapports réciproques entre les entreprises qui produisent et commercialisent des biens qui à travers une accélération de l’information permit de réduire les temps et les coûts commerciaux, productifs et financières.

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(Venture capital)

Généralement les entreprises réussissent à produire et à vendre moins de ce qu’elles pourraient. La différence entre le potentiel productif et la production effective est un potentiel inexprimé, inutilisé. Le programme Vencap se propose d’offrir aux entreprises existantes la possibilité de couvrir le potentiel productif inexprimé.

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(Clearing international)

Vikraya prévoit un système de régulation des transactions commerciales internationales par un procès de trocs à travers un centre de compensation consortial mondial.

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(Système informatif par éther)

Le projet Stellar prévoit un système informatif par éther que, à travers des satellites géostationnaires, permettra à tous les êtres humains d’obtenir en temps réels une réponse à n’importe quelle question pour laquelle il existe déjà une réponse. En même temps le système pourra enrichir les actuelles connaissances avec les informations qui proviennent des usagers-mêmes.

On a prévu un coût de 5 milliards de EUR/USD, égal à 200 millions de Dhana.

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(Sécurité personnelle)

Eka prévoit un système de sécurité personnelle par lequel chaque personne pourra se mettre en communication avec un réseau d’unité d’intervention diffusé sur toute la planète et être rapidement secouru en cas de besoin urgent.

On a prévu 315.00 centres de prompte intervention, pour un coût d’environ 395 milliards de EUR/USD, pour un coût d’environ 395 milliards de EUR/USD, égal à 15,8 milliards de Dhana, le 3,2% du total de Dhana émises.

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(Circulation aérienne)

Pat-Patati prévoit un système de circulation aérienne de masse par un véhicule à décollage verticale (Air-X) lié à un réseau de control du trafic qui garantira la sécurité des vols et un apparat qui permit à n’import quelle personne de voler.

On a prévu un coût de 5 milliards de EUR/USD, égal à 200 millions de Dhana.

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(Banque Télématique)

Cyberbank prévoit un système téléinformatique à travers lequel il sera possible effectuer des payements et perceptions dans n’importe quelle banque à travers un simple téléphone mobile. On a prédisposé la structure hardware et on a pris les premiers contacts avec le système bancaire.

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(Conversion de l’industrie de guerre)

Le programme Santi prévoit la conversion de l’industrie de guerre en autres activités productives entre lesquelles la production de mécanismes et apparats électro-médicaux et organes artificiels. On est en train d’étudier les issues des recherches du MIT –Massachusetts Institute of Technology di Boston – et successivement on définira les procès de reconversion.

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(Centre mondial de recherche)

Le projet Avatar prévoit la diffusion d’un centre mondial de recherche qui sera utilisé par les organismes publics et privés pour accomplir des choix économiques et productifs.

On a prévu un coût de 750 millions de EUR/USD, égal à 30 millions de Dhana.

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(Projet de reforme du système humain)

Le projet de Renouvellement prévoit la reforme contextuelle et programmée des rapports et des comportements à travers la modification de la structure du système hiérarchique à travers un procès dialectique entre toutes les personnes.

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Repubblica della Terra

(Gouvernement démocratique mondial)

La République de la Terre est un système de gouvernement démocratique auquel tous les habitants de la planète peuvent participer.

Elle a été fondée le premier janvier 2001. la Constitution de la République de la Terre énonce les principes d’un système de rapports humains fondé sur la paix, sur le bien-être, sur la liberté, sur la démocratie et sur la solidarité. Les Dispositions de réalisation de la Constitution prévoient les règles à appliquer jusqu’au moment où on n’élira pas l’Assemblée Internationale et le Gouvernement Mondial.

L’institution de la République de la Terre, en tant que gouvernement planétaire, avec le devoir d’unifier les procès de développement, ne doit pas être confondue avec une sorte de nouvelle empire, mais comme forme alternative par rapport à cette prospective.

La République de la Terre ne réaffirme pas le primat d’un nouvel État mais elle confirme et surtout réalise la souveraineté des peuples sur tous les États. L’idée que les êtres humains puissent rejoindre à un certain moment un suffisant autocontrôle sans le besoin des interventions d’une autorité remonte à l’origine de l’État, considéré telle qu’un moyen pour promouvoir le développement de la plus grande responsabilité individuelle. Mais, comme habitude, lorsque l’instrument –l’État - s’est affirmé, il est devenu lui-même le but, pour le discours habituel que chaque partie du système tend à son plus grand renforcement jusqu’au moment où il ne l’a pas rejoint.

Conceptuellement et historiquement, cette stratégie ne permit pas de dépasser l’État, précisément parce que la substitution d’une classe dominante avec une autre ne peut pas réaliser son plus grand renforcement et donc, elle ne réussit pas à modifier la vision de l’État en tant que but.

Seulement par son plus grand renforcement, l’État peut être reconduit à sa fonction originelle de promoteur de la plus grande responsabilité de chacun individu, parce que seulement le plus grand renforcement de l’État –conçu comme État démocratique – peut coïncider la plus grande responsabilité de chacun individu, en rendant ainsi inutile l’existence même de l’État.

L’idée de la République de la Terre considère, donc, que l’épuisement de l’État puisse être obtenu à travers la plus grande expression d’un État démocratique, avec le devoir d’intervenir où les États n’ont jamais pu, pour dépasser donc leurs limites dans l’exercice de la fonction de contribuer au développement de la plus grande responsabilité des habitants de la planète, pour réaliser une situation où la cohabitation soit fondée seulement sur les règles spontanément acceptées et adoptées, sans avoir besoin des interventions d’une n’importe quelle autorité préconstituée comme les États.

On doit entendre la République de la Terre, donc, comme une nouvelle institution et pas comme une superposition par rapport aux États. Et elle doit partir de la base, des habitants de la Terre pas certainement des États existants, autrement il s’agissait d’une organisation d’États et pas d’une organisation de citoyens.

Dans cette vision, la République de la Terre est l’expression des peuples de la Terre, ou mieux « du peuple de la Terre », lequel, en se reconnaissant dans un ensemble de valeurs de référence, veut transformer ces valeurs en caractères pragmatiques: d’abord induits, à travers le procès d’émulation, de l’action de la nouvelle institution; depuis, spontanément adoptés de chaque partie (de chaque individu), dans le moment où chaque partie réalise son plus grand renforcement individuel.

Comme chaque réalité a un début et une fin, ainsi l’État, qui est né pour nécessité, trouvera sa fin seulement lorsque la nécessité n’existera plus.

Pour affirmer une telle institution il faut démontrer les avantages qui dérivent de sa fondation et employer une force adéquate pour la faire partir du bas et pour en divulguer la forme et le but.

Il ne sera pas possible que la République de la Terre aussi se transforme elle-même en but, exactement parce que la tendance au plus grand renforcement est dans son caractère et, par conséquent, sa dissolution finale. Et c’est justement cette fin-but de auto-dissolution finale qui empêche la transformation de sa nature de moyen en fin.

Le but de la dissolution finale à travers le plus grand renforcement constitue en soi la garantie que la République de la Terre ne pourra pas agir pour consolider son renforcement, mais seulement comme moyen pour renforcer les participants au but, justement, de pouvoir réaliser sa dissolution.

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Dhana

(Monnaie mondiale)

La valeur est la capacité des choses de satisfaire les nécessités. La mesure de la valeur est le rapport entre choses et nécessités. L’unité de mesure de la valeur est la grandeur sur la base de laquelle on calcule le rapport entre une chose et la nécessité qui la satisfait.

La monnaie est l’unité de mesure de la valeur. Dhana est l’unité monétaire de mesure de la valeur réelle des biens matériaux et immatériels. Sa base économique est constituée de capitaux d’entreprises, c’est-à-dire de moyens de production.

Chaque ressource a une valeur parce qu’elle sert à satisfaire des nécessités. Pendant que certaines ressources naturelles ont la capacité suffisante à satisfaire des nécessités sans aucune activité humaine, des autres ont, au contraire, besoin d’être transformées pour assumer la capacité de satisfaire des besoins, désirs et émulations.

L’instinct, la mémoire et la force physique sont des ressources humaines qui peuvent satisfaire les nécessités de préserver, de rappeler et de se mouvoir. L’air, l’eau, s’ils sont purs, différents fruits de la nature et les cavernes sont des ressources du milieu qui peuvent satisfaire les nécessités de respirer, se désaltérer, se nourrir et s’abriter.

Différentes difficultés mentales doivent être développées afin qu’elles assument la capacité d’entendre, penser, juger et déduire. Beaucoup de fruits ne sont pas utilisables à l’état naturel s’ils ne sont pas cultivés ou transformés. L’herbe verte n’est pas comestible s’elle n’est pas transformée. La chaux ne peut pas servir comme abri s’elle n’est pas transformée en maisons.

Et ainsi beaucoup d’autres ressources naturelles n’ont pas en soi-mêmes la capacité de satisfaire les nécessités si ne sont pas transformées en produits. Pour le faire, il sert une activité humaine, il sert du travail. Le travail humain est le moyen par lequel on emploie de l’énergie physique et intellectuelle humaine.

Presque toutes les ressources naturelles n’auraient pas de la valeur et elles ne pourraient pas satisfaire des nécessités s’elles ne sont pas transformées en produits par le travail. Donc, le travail est ce qui produit de la valeur parce que c’est le travail qui rend les choses en mesure de satisfaire les nécessités.

la définition d’une unité de mesure de la valeur non seulement on ne peut pas faire abstraction du travail qui est intrinsèque aux choses (produits) mais le travail assume dans la presque totalité des choses le caractère d’essentiel parce que les mêmes ont de la valeur.

La valeur, donc, n’est pas un rapport entre deux ou plus de choses, mais entre choses et nécessités. La mesure de la valeur d’une chose dépend de la quantité de travail d’une certaine qualité employée dans l’unité de temps pour le temps employé pour la transformer dans l’état dont elle peut satisfaire une nécessité.

La monnaie est unité de mesure de la valeur. De quoi peut être représentée cette unité de mesure sinon par unités de travail? On peut donc définir la monnaie, parce qu’unité de mesure de la valeur, comme unité de mesure du travail. Pour une monnaie qui ait comme base monétaire le travail, l’unité de mesure monétaire serait-elle une quantité de travail di une certaine qualité.

Pendant qu’il est possible établir exactement le temps employé dans le travail, il n’est pas possible définir des paramètres précis pour la quantité et la qualité de travail dans l’unité de temps. Pour ceci, on devrait utiliser les termes quantité normale de travail et qualité moyenne du travail. On définit, donc, l’unité monétaire qui mesure la valeur comme une quantité normale de travail de qualité moyenne pour un certain temps. La grandeur de cette unité monétaire est directement proportionnelle au résultat qu’on obtient. Plus grande sera la productivité, plus grande sera la valeur du travail, plus grande sera la grandeur de l’unité monétaire.

Dhana est l’unité monétaire qui mesure l’unité de travail, entendue comme quantité normale de travail de qualité moyenne pour un certain temps.

En augmentant la productivité, on augmentera la valeur de Dhana.

Dhana a été introduite le 14 juin 2001, par l’émission des six premiers milliards de Dhana, garantis d’un capital de 150 milliards d’Euro. Ensuite, on a émis des autres 34 milliards de Dhana, garantis d’un capital de 850 milliards d’Euro.

On a prévu l’émission de presque 500 milliards de Dhana, égal à une valeur d’émission de 12.500 milliards de EUR/USD.

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(Immortalité)

On meurt de faim, de soif, de privations, de maladie, de vieillissement. On meurt pour des incidents, pour des actes de violence et de guerre. On meurt. N’importe quelle soit la cause, on meurt. L’homme et la femme, le jeune et le vieux, le pauvre et le riche, le cultivé et l’ignorante, le beau et le laid, le bon et le mauvais, le pacifique et le violent, le malin et le stupide. Tous les êtres humains meurent. Pour toujours. On peut vivre d’un seul second à plus de cent ans, mais depuis on meurt. On est habitué à la mort. On la considère inéluctable. On pense soit impossible non mourir. Même pour ceci on meurt.

Au contraire de nous rebeller à cette défaite de la vie, nous imaginons une vie après la mort. C’est une vision mystique. C’est la négation de la raison. Le programme Kayamara se propose de défaire la morte physique. Est-elle une folie? Est-il le plus fou celui qui se rebelle à la mort et qui s’engage pour la défaire ou celui qui l’accepte passivement et se rend à elle? Vaincre la mort est-il impossible? Doit-on vivre pour mourir?

Non, on ne peut pas vivre pour non mourir. Pour vaincre la mort on doit avant tout croire qu’il est possible, depuis on doit s’engager pour le faire devenir probable. Chacun être humain peut participer à ce programme. Par amour vers soi-même et vers les personnes qu’il aime. Laisser mourir soi-mêmes et les personnes qu’on aime est une folie, elle est une responsabilité qui personne ne devrait s’assumer. Pour vaincre la mort il faut qu’on ne soit plus nécessaire mourir.

Pour ce projet on a prévu un coût de 1,2 milliards de EUR/USD, égal à 48 millions de Dhana.

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